Ça se passe dans un établissement

Conducteur routier, un métier d’avenir

Conducteur routier, un métier d’avenir

L’essentiel des transports de marchandises se fait par la route. La formation initiale et continue des conducteurs se trouve être le premier maillon de cette activité économique.

  • [Article Ouest-France]

    « À Promotrans, nous sommes un centre de formation et non une auto-école, car nos formations concernent dix filières de métiers, dont le transport de marchandises. Nous avons une certification Qualiopi, un label de qualité obligatoire pour les entreprises de formation depuis janvier. Nous assurons chaque année 120 000 heures de cours théoriques et pratiques pour 2000 stagiaires », explique Jean-Raynald Barbier, le directeur du centre, implanté dans la zone de la Bourdinière. Les stagiaires, pour 70 % d’entre eux, sont envoyés par les entreprises locales. 20 % sont en recherche d’emploi et 10 % viennent à titre individuel : « Il y a une forte demande de la part des plateformes logistiques et des agences d’intérim, pour des formations de cariste, manipulation de nacelles ou de grues de camion », souligne le directeur.

    Un haut taux de réussite

    Les candidats, à leur entrée chez Promotrans, passent un test de niveau. Le recrutement se fait sur un rayon de cinquante kilomètres, pour des formations spécifiques, comme celles dédiées aux futurs responsables d’unités de transports. Les femmes constituent 25 % des effectifs. Les formateurs peuvent également se déplacer sur le siège des entreprises. « Les formations conduite poids lourds et la formation initiale minimum obligatoire (Fimo), représentent 60 % des demandes de formation. Le certificat de conduite en sécurité, le Caces, le transport en commun et la formation des exploitants de transport se répartissent les 40 % restants », ajoute Jean-Raynald Barbier.

    La formation a un coût, payé par les entreprises ou les institutions : « Un parcours de formation ...

  • [SOURCE]

    [Article Ouest-France]

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