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Quelles sont les villes universitaires les plus chères de France ? Le classement 2022

Une nouvelle aide pour les ex etudiants boursiers
« Je voudrais dire à tous les jeunes diplômés qui sont en recherche d’emploi et qui étaient boursiers au titre de l’année universitaire 2019-2020 qu’ils ont droit à une aide de quatre mois », a notamment expliqué Elisabeth Borne. LP/Delphine Goldsztejn

L’Île-de-France demeure la région où le coût de la vie est le plus élevé pour les étudiants, avec Nice et Lyon. Mais la situation se tend dans certaines villes en région, comme Angers ou Brest. Fort heureusement, des villes comme Le Mans, Limoges ou Poitiers restent accessibles. Les loyers, qui progressent de 1,37 %, restent le principal poste de dépenses.

  • [Article Ouest-France]

    Mieux vaut être étudiant au Mans qu’à Paris ! En tout cas, sur le plan financier. C’est ce qui ressort du classement des 47 principales villes universitaires réalisé par l’Union nationale des étudiants de France (Unef), que nous dévoilons en exclusivité. Le syndicat y passe en revue tous les postes de dépenses d’un étudiant (frais d’inscription, de restauration, téléphone, Internet, etc.), mais aussi évidemment le loyer et les transports, dont les tarifs diffèrent sensiblement d’une ville à une autre.

    L’Île-de-France toujours la plus chère

    Sans surprise, l’Ile-de-France concentre huit des dix villes les plus chères de France (Nanterre, Saint-Denis, Créteil, Orsay, etc.), la palme revenant à la capitale avec un reste à charge de 1 332, 52 € par mois. Loin devant la préfecture de la Sarthe, donc, où les étudiants ne déboursent en moyenne que 850,44 € par mois, soit 482,08 € de différence.

     

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    En région, Lyon fait son entrée dans le Top 10 des villes les plus chères de France pour les étudiants, avec un reste à charge de 1 095,73 € par mois. Mais c’est Nice qui demeure la ville de province la plus chère avec un reste à charge mensuel de 1 114,39 €. À l’inverse, Le Mans, Limoges, Saint-Étienne, Poitiers ou Pau sont les villes où le coût de la vie est le moins élevé pour celles et ceux qui suivent des études supérieures.

    Des données qui confirment que la rentrée sera difficile pour une grande partie des trois millions d’étudiants, déjà fragilisés depuis deux ans par l’épidémie de Covid-19, avec une hausse du coût de la vie estimée 6,47 % par l’Unef, et 7,38 % par la Fédération générale des associations étudiantes (Fage).

    Des dépenses plus fortes que l’inflation dans vingt villes

    L’étude de l’Unef confirme que ...

  • [SOURCE]

    [Article Ouest-France]

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